quatrième trimestre 2021 [#01
Le premier né
Contributeurs
Paru le 21 octobre 2021, ce numéro inaugural rassemble vingt auteurs sur 142 pages dans un éventail d’expressions singulières où prédomine la fiction.
Le street artiste Jordanne Saget est venu amicalement entourer ces voix de ses lignes ondulantes et caressantes.
Il est disponible sur commande en librairies, qu’elles soient physiques ou en ligne.
L’ISBN est 978-2-492895-01-2
Si le libraire n’est pas familier avec la commande d’ouvrages imprimés à la demande, précisez-lui que ce #1 figure dans le catalogue Dilicom, et que sa distribution est assurée par la Sodis.
Ce #1 est également disponible à la commande, au prix de 19 €, en cliquant ici pour accéder à la boutique ; les frais de port sont offerts.
Pour un règlement par virement, merci de nous contacter par courriel à gestion@labyrinthes.net
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La version en PDF peut être téléchargée librement, ici au format page et là au format planche (qui permet de mieux apprécier l’intervention de Jordanne Saget).
Vous pouvez, si vous le désirez, faire une contribution d’un montant de votre choix pour le téléchargement de ces PDF, via PayPal, sur le compte @labyrinthes
Si vous préférez une contribution par carte bancaire, envoyez le montant souhaité à gestion@labyrinthes.net en précisant votre nom, et vous recevrez en retour un lien sécurisé de règlement personnalisé.
Ils en parlent…
C’est le lancement de la revue Labyrinthe[s qui marquera le début de ce mois de novembre.
Didier Betmalle
Avec cet intitulé, propre à tenter, inquiéter et fasciner, elle publie crânement son ≠1, sous une couverture conçue à la manière d’un tableau d’Alechinsky, au pourtour rempli de motifs fluides, d’un beau rouge cinabre.
À l’intérieur du cadre (carrément carré), sur fond de page blanche (le lieu commun de l’angoisse et du défi !), figure la liste nominative des auteurs, ponctuée de crochets. On jurerait une partition à déchiffrer.
Labyrinthe[s joue ostensiblement avec la forme et le matériau premier du texte, afin que notre attention se fixe sur tout à la fois : le support, la marge, la matière, le traitement de la matière, son rythme et son articulation, le sujet, le traitement du sujet, la singularité du style des auteurs, de leur musique, la présence de leurs personnages, la tension du fil conducteur, les mystères résiduels de leurs récits, leurs différents niveaux de lectures, les constructions diverses avec chute, non chute, cycle ou fin abrupte, où pointent l’humour, la détresse, la colère, bref, tout ce qui est vivant dans un texte et dont on peut s’emparer et se nourrir.
Lire l’intégralité du compte-rendu sur son blog.
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Au plaisir de chroniquer ce texte [“Débordements”, de Marie-Hélène Moreau], dont le fond et la forme s’accordent parfaitement, s’ajoute celui de donner un coup de projecteur sur la revue Labyrinthe[s.
Didier Betmalle
Tout à fait emblématique de la qualité littéraire que défend la jeune revue, Débordement est aussi le premier texte qu’on rencontre en ouvrant ce numéro 1.
Il est, en quelque sorte, sa figure de proue.
Son écriture est si élaborée, sa composition si cohérente, ses ressorts si complexes et si subtils, qu’en aucune façon je crains de le dévitaliser par mes commentaires. J’espère en revanche contribuer à mettre en relief son haut niveau stylistique.
Suppléments en ligne
Le calvaire d’Héloise Pajadou
par Lucien Descaves
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