Dominique Lebel

À petites touches…

Je suis née à Alger, au début de la tourmente et j’ai souvent déménagé. Je vis aujourd’hui à Albi.
Je suis venue à la littérature par hasard à l’âge de dix-sept ans, sur les bancs de la faculté de Nanterre, pour les beaux yeux d’un garçon qui est encore aujourd’hui mon mari. J’ai obtenu mes diplômes très jeune et j’ai commencé à écrire quand j’en ai eu le temps, c’est-à-dire il y a une vingtaine d’années, avec les doutes que peut amener la fréquentation des grands auteurs.

J’ai eu une longue carrière dans l’enseignement des Lettres et de la communication. J’ai beaucoup aimé mon métier, qui me l’a bien rendu.

J’ai deux filles, qui sont ma plus belle réussite.

J’ai reçu le Label [S pour Et je chante aujourd’hui les vivants et Tipasa.

 

Publications

 

Mater dolorosa, roman, 2012, Amalthée

Elle s’appelait Sonia Verjik, roman, 2014, Hélène Jacob

Monstres, nouvelles, 2014, Hélène Jacob

Un lundi au soleil, roman, 2015, Hélène Jacob

Bitume ou l’enfer de la route, roman, 2017, L’Harmattan, collection Écritures

Le monde en mieux, nouvelles, 2018, Les Indés

Chronologie des murs, roman, 2018, Le lys bleu

Lessiv story (Carmen L), nouvelles, 2019, AE

L’armée d’argile, roman, 2019, éditions du Caillou

Icônes (Carmen L), nouvelles, 2020, AE

Les vies secondaires, nouvelles, 2021, AE

Et je chante aujourd’hui les vivants, roman, 2021, AE – Label [S

Tipasa, roman, 2022, AE – Label [S

Bibliographie

La plus malheureuse des femmes (Labyrinthes, 2024)

Elle a pris un train pour Trouville, le train de midi. Elle voulait écrire un livre sur lui, sur le génie. Elle avait réservé une chambre d’hôtel, la saison n’avait pas commencé. Elle s’est installée dans la chambre, la fenêtre donnait sur la plage, avec ses marées, ses îlots de… lire la suite »

Tipasa (AE, 2022)

La photo a été prise à Tipasa, un dimanche et au premier plan, on peut voir cet homme.  Qui est-il ? Il aurait fallu qu’elle s’en aille poser la question. Qu’elle termine son cours sur Camus , puis qu’elle reprenne sa voiture au parking et longe la mer.  Elle connaissait le… lire la suite »

Et je chante aujourd’hui les vivants (AE, 2021)

Il faut, pour offrir un semblant de cohérence aux comportements des hommes, quelque chose de solide, qui puisse contenir les excès et les dérives − la sauvagerie du monde. Un arbre, par exemple. Cette histoire se déroule dans un pays de rizières, de temples et de champs de lotus, qui fut longtemps… lire la suite »